Open Letter to
Prime Minister Carney

Lettre ouverte au
premier ministre Carney

Today, B’nai Brith Canada, together with many influential leaders from across Canada’s multicultural communities, sent an open letter to Prime Minister Mark Carney.

The letter warns that his government’s plan to recognize a Palestinian state at the United Nations General Assembly in September is dangerous and premature. Such a decision destabilizes the Middle East and pushes Israelis and Palestinians further away from a true two-state solution.

Recognizing a Palestinian state under current conditions rewards authoritarianism and terrorism. It contradicts Canadian values of democracy, accountability, and moral clarity.

Furthermore, making such a decision while Parliament is not in session undermines Canadian democracy.

These signatories represent a wide cross-section of leaders from Canada’s diverse communities who share a commitment to Canadian values and to a peaceful and democratic future in the Middle East. Their voices underscore that this issue is not confined to one community but resonates across the country.

Canada should support conditions that foster real negotiations and a lasting peace. Premature recognition will only deepen instability and move peace further out of reach.

Aujourd’hui, B’nai Brith Canada, en collaboration avec de nombreux leaders influents issus des communautés multiculturelles du Canada, a envoyé une lettre ouverte au premier ministre Mark Carney.
 
La lettre met en garde contre le projet de son gouvernement de reconnaître un État palestinien lors de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre, qualifiant cette décision de dangereuse et prématurée. Une telle décision déstabiliserait le Moyen-Orient et éloignerait encore davantage les Israéliens et les Palestiniens d’une véritable solution à deux États.
 
Reconnaître un État palestinien dans les conditions actuelles revient à récompenser l’autoritarisme et le terrorisme. Cela va à l’encontre des valeurs canadiennes de démocratie, de responsabilité et de clarté morale.
 
De plus, prendre une telle décision alors que le Parlement n’est pas en session sape la démocratie canadienne.
 
Les signataires représentent un large éventail de dirigeants issus de diverses communautés canadiennes qui partagent un engagement envers les valeurs canadiennes et un avenir pacifique et démocratique au Moyen-Orient. Leurs voix soulignent que cette question ne se limite pas à une seule communauté, mais trouve un écho dans tout le pays.
 
Le Canada devrait soutenir les conditions qui favorisent de véritables négociations et une paix durable. Une reconnaissance prématurée ne ferait qu’aggraver l’instabilité et éloigner encore davantage la paix.