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April 29, 2021
OTTAWA – People all over the world have spoken out this week to demand justice for Sarah Halimi. B’nai Brith Canada wants to help turn these calls for justice into action.
CLICK HERE to add your name to a petition that we will be officially presenting to the French Ambassador to Canada on behalf of the Canadian Jewish community and all people of good conscience who support us in the fight against hatred.
Sarah Halimi was a kindergarten teacher and doctor in France who was tragically and gruesomely murdered in her home in 2017. The assailant beat and stabbed Sarah for over one hour, called her a dirty Jew, called her Satan, chanted Quranic verses, repeatedly shouted “Allahu Akbar,” and then shoved her mangled body off her third-floor apartment balcony. He even admitted that his longstanding hostility towards Jews motivated the heinous murder.
Nevertheless, French courts have chosen not to punish her assailant – declaring him to be not criminally responsible for his actions due to marijuana-induced psychosis.
French President Emmanuel Macron has acknowledged the injustice of this result – stating that “deciding to take drugs and then ‘going crazy’ should not, in my opinion, take away your criminal responsibility.” B’nai Brith urges President Macron and the French authorities to act on this point. All existing legislation must be enforced in all cases, and any gaps in the law must be corrected with new legislation.
In addition to presenting today’s petition to the French Ambassador, B’nai Brith is calling on the government of Canada to demand that France fill the gaps in its laws that allowed for this kind of abhorrent result.
“All over the world, antisemitism is often treated differently and not taken as seriously as other forms of hatred and discrimination,” said Michael Mostyn, Chief Executive Officer of B’nai Brith Canada. “The worldwide Jewish community is appalled by this development, in the country that once led the fight for Jewish emancipation and equality. We will not be silent and accept this ruling as legitimate. We must all become the voice for Sarah Halimi and demand equality for all victims of injustice.”
29 avril 2021
OTTAWA – Partout dans le monde, des gens se sont exprimés cette semaine pour demander justice à l’égard de Sarah Halimi. B’nai Brith Canada veut aider à transformer ces appels à la justice en action.
CLIQUEZ ICI pour ajouter votre nom à une pétition que nous présenterons officiellement à l’ambassadeur de France au Canada au nom de la communauté juive canadienne et de toutes les personnes de bonne conscience qui nous soutiennent dans la lutte contre la haine.
Sarah Halimi était une enseignante de maternelle et un médecin habitant la France qui a été tragiquement et horriblement assassinée à son domicile en 2017. L’assaillant a battu et poignardé Sarah pendant plus d’une heure, l’a traitée de sale juive, l’a appelée Satan, a chanté des versets coraniques, a crié à plusieurs reprises « Allahu Akbar », puis a poussé son corps mutilé hors du balcon de son appartement au troisième étage. Il a même admis que son hostilité de longue date envers les Juifs avait motivé le meurtre odieux.
Néanmoins, les tribunaux français ont choisi de ne pas punir son agresseur – le déclarant non criminellement responsable de ses actes dus à la psychose induite par la consommation de marijuana.
Le président français Emmanuel Macron a reconnu l’injustice de ce résultat – déclarant que « décider de prendre de la drogue et ensuite ‘‘devenir fou’’ ne devrait pas, à mon avis, vous décharger de votre responsabilité criminelle. » B’nai Brith exhorte le président Macron et les autorités françaises à agir sur ce point. Toute la législation existante doit être appliquée dans tous les cas, et toute lacune dans la loi doit être corrigée par une nouvelle législation.
En plus de présenter la pétition d’aujourd’hui à l’Ambassadeur de France, B’nai Brith demande au gouvernement du Canada d’exiger que la France comble les lacunes de ses lois qui ont permis ce genre de résultat odieux.
« Partout dans le monde, l’antisémitisme est souvent traité différemment et n’est pas pris autant au sérieux que d’autres formes de haine et de discrimination », a déclaré Michael Mostyn, directeur général de B’nai Brith Canada. « La communauté juive mondiale est consternée par ce dénouement judiciaire, dans le pays qui a autrefois mené la lutte pour l’émancipation et l’égalité des juifs. Nous ne resterons pas silencieux et n’accepterons pas cette décision comme légitime. Nous devons tous devenir la voix de Sarah Halimi et exiger l’égalité pour toutes les victimes d’injustice. »
