B’nai Brith s’inquiète de l’évolution de la situation dans tout le pays

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(Queers pour la Palestine Winnipeg)

12 novembre 2023

Des groupes radicaux canadiens ont commencé à cibler notre économie canadienne dans une tentative malavisée de fustiger Israël alors qu’il mène une guerre d’autodéfense contre les terroristes de Hamas.

Dans le cadre de cette campagne illégale, des manifestants dans des villes canadiennes ont intimidé, harcelé et vandalisé des entreprises appartenant à des juifs ou des sociétés perçues comme soutenant d’une manière ou d’une autre le seul État juif au monde. Parmi les entreprises touchées figurent Boeing à Winnipeg, Zim à Vancouver, ainsi que L3Harris à Toronto. Les radicaux ont également pris pour cible les installations canadiennes de Lockheed-Martin et continuent d’appeler au boycott des franchises juives locales.

À l’occasion du 85e anniversaire de la Nuit de Cristal, les extrémistes ont même dirigé leur rancœur contre Indigo Books, une entreprise canadienne, uniquement parce que son PDG est à la fois juif et un fier partisan d’Israël.

(Le monde au-delà de la guerre)

Un fanatique antijuif, Firas Al-Najim, dans une piètre tentative de se faire de la publicité, s’est filmé en train de rendre une boisson au Café Landwer, déclarant que boire une boisson du café juif était « comme boire du sang ».

Les extrémistes ont été encouragés à agir en toute impunité après des semaines d’inaction de la part du gouvernement. L’incitation à la haine, les appels au boycott des entreprises juives et la fermeture des entreprises canadiennes sont désormais normalisés. Nos dirigeants ont donné la priorité à une notion abstraite de liberté d’expression plutôt qu’au droit des entreprises canadiennes et de la communauté juive d’exister dans un environnement exempt de haine.

« B’nai Brith a averti à plusieurs reprises que l’incapacité à faire respecter la règle de droit à la suite d’incitations antijuives lors de rassemblements haineux et sur nos campus universitaires ne ferait qu’entraîner une escalade », a déclaré Michael Mostyn, directeur général de B’nai Brith Canada. « Les dirigeants canadiens doivent prendre les devants et dénoncer sans équivoque cette haine antijuive. Combien de temps faudra-t-il encore que la situation dégénère avant que des mesures soient prises? »

Nous encourageons toute entreprise ciblée de la même manière à contacter B’nai Brith Canada par le biais de notre ligne téléphonique anti-haine, de notre application ou de notre formulaire de signalement d’un incident.