B’nai Brith Canada dénonce le « Teach-In » haineux parrainé par la faculté à UMT

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Un prospectus pour l’événement de UMT (Dr. Megan Scribe sur X)

Le 27 octobre 2023

TORONTO – B’nai Brith Canada a été choqué de découvrir que la Faculté des arts et le Comité d’équité de l’Association des professeurs de l’Université métropolitaine de Toronto (UMT) ont parrainé un événement sur le campus jeudi pour fermer les yeux sur les actions du Hamas.

Cela fait suite à un récent scandale impliquant des étudiants de l’École de droit Lincoln Alexander (EDLA) de l’Université métropolitaine de Toronto (UMT) qui ont déclaré leur soutien au terrorisme.

Le « Teach-In pour la Palestine » de jeudi, qui a été diffusé sur le site officiel de la UMT, a appelé à modifier le récit populaire entourant le conflit entre Israël et Hamas, en encourageant les étudiants à présenter Hamas comme des « combattants de la liberté » et à accuser Israël d’être le terroriste. Parmi les intervenants figuraient les professeurs Sedef Arat-Koc, Marusya Bociurkiw et Megan Scribe.

Le matériel de promotion de l’événement comprenait le slogan génocidaire « De la rivière à la mer, la Palestine sera libre ». Lors du « teach-in », Gaza a été qualifiée de « camp de concentration ».

Certains participants ont été consternés par l’absence de condamnation de l’attaque brutale du Hamas du 7 octobre, qui a coûté la vie à plus de 1 400 innocents.

« Les universités sont censées être des établissements d’enseignement supérieur qui encouragent la pensée critique », a déclaré Michael Mostyn, directeur général de B’nai Brith Canada. « Ce teach-in parrainé par l’UMT semble avoir été dépourvu de tout discours académique, tout en étant empreint d’hypocrisie. »

Ce nouveau scandale survient moins d’une semaine après que B’nai Brith a exigé que la l’École de droit Lincoln Alexander de l’Université de Toronto expulse les étudiants qui ont signé la déclaration scandaleuse, qui fait actuellement l’objet d’une enquête par l’université.

« La liberté académique n’est pas une licence morale pour justifier le terrorisme », a déploré M. Mostyn. « L’Ontario doit veiller à ce que l’Université de Toronto respecte les normes élevées qui sont attendues et exigées d’elle. »