Le 4 juin 2023
C’est aujourd’hui la Journée internationale des enfants innocents victimes d’agression, proclamée par l’Organisation des Nations unies (ONU). Cette journée est consacrée à la reconnaissance de la souffrance des enfants du monde entier qui sont victimes d’abus physiques, mentaux et émotionnels.
Cette année, B’nai Brith Canada souhaite attirer l’attention sur le Jihad islamique palestinien, le Hamas et le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), des groupes terroristes soutenus par l’Iran qui utilisent des enfants dans leurs opérations et qui sont publiquement célébrés lors des rassemblements de la Journée Al-Qods partout au Canada.
B’nai Brith lance aujourd’hui une NOUVELLE VIDÉO PERFORMANTE, qui met en évidence le lien entre les organisations terroristes mandataires de l’Iran glorifiées lors de la Journée Al-Quds et les terribles abus commis sur les enfants par ces terroristes.
Le mois dernier, B’nai Brith a lancé une pétition demandant l’interdiction de la Journée Al-Quds à Toronto, où des foules de participants ont été continuellement filmées en train de chanter des slogans génocidaires, de faire l’éloge des terroristes et de créer un environnement toxique dans la ville.
Inspirés par l’Ayatollah iranien en 1979, ces rassemblements haineux ont lieu dans des villes du monde entier, offrant une tribune aux partisans anti-israéliens qui encouragent régulièrement la haine contre le seul État juif du monde et ses habitants.
« Aujourd’hui est le jour où nous reconnaissons la douleur et la souffrance uniques vécues par les enfants dans les conflits armés à travers le monde et où nous nous efforçons de mettre fin à cette pratique horrible, » a déclaré Michael Mostyn, directeur général de B’nai Brith Canada. « Il est honteux que des rassemblements publics glorifiant des organisations terroristes qui abusent d’enfants comme soldats de guerre continuent d’être autorisés. »
Le 19 août 1982, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de commémorer les enfants victimes de conflits armés le 4 juin de chaque année. Le travail de commémoration est dirigé par la Convention relative aux droits de l’enfant, le traité international sur les droits de la personne le plus largement ratifié de l’histoire.
