B’nai Brith condamne le soutien apporté au terrorisme lors des rassemblements organisés au Canada à l’occasion de la Journée internationale de la femme

CLICK HERE FOR ENGLISH

La terroriste notoire Leila Khaled figure sur un prospectus promouvant la Journée internationale de la femme.

Le 29 février 2024

TORONTO – B’nai Brith est scandalisé par le fait que les rassemblements de la Journée internationale de la femme (JIF) à travers le Canada prévoient de commémorer le terrorisme tout en ignorant la violence perpétrée en octobre dernier par les terroristes du Hamas contre des civils israéliens innocents, y compris des femmes et des jeunes filles.

La JIF, qui aura lieu le 8 mars 2024, a pour but de célébrer les femmes et leurs contributions à la société. C’est aussi l’occasion de défendre les droits des femmes et de lutter contre les discriminations fondées sur le sexe.

Au lieu de profiter de cette journée pour sensibiliser le public aux femmes et aux filles israéliennes qui ont été violées, mutilées et tuées le 7 octobre, ou pour exiger la libération de celles qui sont toujours retenues en otage à Gaza par les terroristes du Hamas, certains groupes au Canada soutiendront leurs ravisseurs.

Par exemple, le matériel promotionnel des marches de femmes à Toronto et à Vancouver présente des personnalités telles que Leila Khaled, qui a participé au détournement du vol TWA 840 en 1969 et à l’attaque du vol El Al 219 en 1970 en tant que membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une entité terroriste inscrite sur la liste du Canada.

Parmi les autres extrémistes cités comme des figures de proue de la « libération » palestinienne figure Ahed Tamimi, qui a été arrêtée pour avoir attaqué des soldats israéliens, puis pour avoir incité à la violence contre les Juifs sur les réseaux sociaux.

« Le public doit voir l’hypocrisie de ces tentatives de manipuler la JIF pour en faire une propagande anti-israélienne, » a déclaré Richard Robertson, directeur de la recherche et du plaidoyer de B’nai Brith Canada. « La JIF est une journée destinée à promouvoir la lutte universelle pour les droits des femmes et à célébrer leurs réalisations, et non à glorifier les terroristes, même s’il s’agit de femmes. Au contraire, cette journée devrait être l’occasion d’exprimer le dégoût du monde entier face au traitement cruel infligé aux femmes par le Hamas le 7 octobre et après cette date.

« Il est profondément inquiétant que certains organisateurs de la Journée internationale de la femme ne considèrent pas la douleur et la souffrance des victimes du terrorisme du Hamas comme quelque chose qui mérite d’être reconnu simplement parce qu’elles sont juives ou israéliennes. »

Suite aux réactions du public, les organisateurs de la marche de la JIF de Vancouver ont mis à jour une déclaration sur Facebook pour exprimer leur « soutien [aux] femmes juives, » tout en dédiant hypocritement la JIF de cette année aux femmes palestiniennes qui ont « engendré un changement révolutionnaire. »